Justepour revenir sur votre phrase "le muscle pĂšse plus lourd de la graisse", c'est totalement faux, 1kg, c'est 1kg. La bonne phrase que vous vouliez dire, je pense, c'est "Ă mĂȘme volume, le muscle pĂšse plus que la graisse" (car la graisse Ă un volume
30 jours pour perdre 3 kg. A ce rythme-lĂ , imaginez combien de kilos vous pourriez perdre ! Cet amaigrissement sur la durĂ©e est rĂ©alisable grĂące Ă un mode de vie plus sain et des exercices intenses. PrĂȘt Ă relever le dĂ©fi ? Que modifier pour perdre 3 kg en 1 mois ? 1 mois est un dĂ©lai correct pour perdre 3 kg. Ces kilos superflus permettront assurĂ©ment dâaffiner votre silhouette et de vous motiver pour continuer sur votre lancĂ©e. En augmentant votre dĂ©pense calorique et en rĂ©duisant vos apports Ă©nergĂ©tiques, vous pouvez raisonnablement espĂ©rer perdre entre 0,5 et 1 kilo par semaine. Pour vous allĂ©ger de 3 kilos chaque mois, sortez la calculatrice afin de dĂ©terminer vos besoins caloriques journaliers maintenance. Par exemple, une femme de 40 ans, dâ1m65 pour 68 kg ayant une activitĂ© physique lĂ©gĂšre, aura une maintenance de 2163 kcal. Câest-Ă -dire quâen consommant 2163 kcal par jour, son poids restera stable. En adoptant un rĂ©gime hypocalorique de 15 %, elle devra consommer 1838 kcal quotidiennement. AssociĂ© Ă une pratique physique de son choix, elle perdra 3 kg ou plus au fil du mois. Pour calculer le nombre de calories que vous consommez, fiez-vous Ă des applications telles que myfitnesspal qui vous rendront la tĂąche plus facile. De fait, en dĂ©but de rĂ©gime, il est nĂ©cessaire de connaĂźtre le nombre de calories que vous allez devoir consommer pour perdre votre 3 kilos par mois. Ensuite, si cela nâest pas dĂ©jĂ le cas, il conviendra dâaugmenter la dĂ©pense Ă©nergĂ©tique. Si vous ĂȘtes plutĂŽt dĂ©butant et/ou avec un emploi du temps surchargĂ©, nâhĂ©sitez pas Ă vous faire accompagner par un coach sportif Ă domicile. Le coaching personnel sâavĂšre ĂȘtre la solution idĂ©ale grĂące Ă des sĂ©ances de sport Ă domicile, et surtout un programme dâentraĂźnement sur-mesure, adaptĂ© Ă vos propres capacitĂ©s. A lire Ă©galement Conseils pour perdre 5 kg en 1 mois Le HIIT, votre alliĂ© brĂ»leur de graisse » CĂŽtĂ© sport, rien ne remplace le HIIT pour maigrir rapidement. Le principe est simple des exercices enchaĂźnĂ©s les uns aprĂšs les autres, Ă trĂšs haute intensitĂ©. Selon votre niveau, votre coach sportif pourra vous proposer des entraĂźnements sur mesure. LâidĂ©e est de rĂ©aliser, par exemple, 6 exercices avec 20 sec. dâeffort et 10 sec. de repos Cf. illustration ci-dessous. RĂ©alisĂ© 5 fois, cet enchaĂźnement de 15 minutes vous permettra de brĂ»ler un max de calories. Il a Ă©tĂ© prouvĂ© scientifiquement que le HIIT est bien plus efficace que lâendurance classique pour perdre du poids. De plus, il prĂ©sente lâavantage de ne pas ĂȘtre chronophage avec des sĂ©ances de 15 Ă 30 min. Pour espĂ©rer perdre vos 3 kilos mensuellement, pensez-y. A lire Ă©galement Pour maigrir, mettez-vous au HIIT ! Prenez-vous en main dĂšs maintenant pour perdre vos 3 kilos 1 mois pour maigrir, ça peut vous sembler juste si vous traĂźnez Ă vous lancer. De fait, ne remettez rien Ă demain, la perte de poids nâattend pas. Vous disposez de 4 semaines pour perdre 3 kg. En pratiquant un sport et en Ă©vitant le grignotage, vous parviendrez Ă perdre 1 kg/semaine les 15 premiers jours. Les 2 semaines suivantes, attaquez-vous Ă vos repas en optant pour des produits frais Ă index glycĂ©mique bas ou modĂ©rĂ©. Vous pouvez Ă©galement, selon votre profil et les conseils de votre coach, adopter un rĂ©gime hyperprotĂ©inĂ© » Ă hauteur de 1,5 Ă 2 g. de protĂ©ines par kilo de poids de corps. Ainsi, les 3 kilos perdus durant le mois proviendront dâune perte de gras et non de muscles. En effet, perdre 3 kg par mois est un bel objectif mais lâidĂ©al est de garder une silhouette tonique, sculptĂ©e et musclĂ©e. Pour cela, consommez des protĂ©ines Ă chaque repas, elles sont essentielles, que lâon souhaite perdre du poids ou prendre du muscle. En rĂ©sumé⊠Pour perdre 3 kilos en 1 mois, il convient de diminuer le nombre de calories dâau moins 15 % par rapport Ă sa maintenance. Ensuite, des sĂ©ances sous forme de HIIT vous permettront de gagner du temps et de brĂ»ler du gras. Pour parfaire le tout, une modification progressive de sa nutrition Ă travers de meilleurs choix alimentaires et un apport de protĂ©ines plus important viendront mettre la touche finale, vous permettant de perdre vos fameux 3 kg en 30 jours ! Besoin dâun accompagnement personnalisĂ© ? Notre Ă©quipe de coachs sportifs professionnels est Ă votre disposition. Trouvez votre coach A lire Ă©galement Comment calculer son poids idĂ©al ? Perdre 10 kg en 1 mois, est-ce possible ? XLS Medical vraiment efficace pour perdre du poids ? Comment perdre 3 kilos rapidement en 3 jours ou 1 semaine ? Sport vs alimentation faire les bons choix pour perdre du poids ! Quel sport pour maigrir ? Les meilleures activitĂ©s pour perdre du poids
Ilsfont surtout une chasse au gras comme les filles, c'est-Ă -dire qu'ils ont une peur du gras et une volontĂ© de faire disparaĂźtre toute trace de graisse. Ils ont surtout souvent une volontĂ© de masse musculaire, l'envie de paraĂźtre encore plus virils, alors qu'ils sont adolescents, dans des quĂȘtes identitaires oĂč effectivement on se cherche, le corps se modifie: c'est ce qui lĂ©gitime
2- CinĂ©tique de destruction des microorganismes Influence de la durĂ©e du traitement thermique 211- La courbe de survie On dĂ©termine Ă diffĂ©rents temps le nombre de micro-organismes survivants suite Ă lâexposition Ă une tempĂ©rature lĂ©tale constante. La ïŹgure suivante a montre lâallure de la courbe N=ft On obtient une courbe dĂ©croissance exponentielle câest la courbe de survie. On voit que les microorganismes sont dĂ©truit N0= concentration initiale en microorganisme N= concentration en microorganisme survivant t= durĂ©e du traitement thermique Afin de dĂ©terminer lâĂ©quation de la courbe, on trace la courbe prĂ©cĂ©dente en coordonnĂ©e semi logarithmique, câest Ă dire LogN =ft. On obtient la courbe suivante Les courbes N=ft et log N = ft sont appelĂ©es courbes de survie ou cinĂ©tiques de destruction microbienne. La courbelog N = ft est linĂ©aire, autrement dit, les micro-organismes exposĂ©s Ă une tempĂ©rature lĂ©tale constante, suivent une loi de destruction dâordre 1 en fonction du temps. Plus le nombre initial de microâorganismes N0 est important, plus le temps de pasteurisation doit ĂȘtre long. De mĂȘme, plus les micro-organismes sont thermorĂ©sistants, plus la durĂ©e de pasteurisation doit ĂȘtre grande. 212- DurĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale D T DĂ©finition de la durĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale DT On appelle DT la durĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale DT, la durĂ©e de chauffage Ă la tempĂ©rature T qui permet de diviser par 10 la population de microorganisme. LâĂ©quation de la droite de survie en âcoordonnĂ©es Log â log N = ft nous donne les relations suivantes DT nous renseigne sur la thermorĂ©sistance des microorganismes Ici câest qui est la bactĂ©rie la plus thermorĂ©sistante ! LâĂ©quation de la courbe de survie peut donc finalement sâĂ©crire 213- Taux de rĂ©duction dĂ©cimale Le taux de rĂ©duction dĂ©cimale n ou nombre de rĂ©ductions dĂ©cimales appelĂ© aussi efficacitĂ© pasteurisatrice E Ă la tempĂ©rature T est La durĂ©e du traitement thermique Ă la tempĂ©rature T qui permet de dĂ©truire une proportion de microorganisme Ă©gale Ă n est t = n x DT Ă la tempĂ©rature T Facteurs de variation de la thermorĂ©sistance D qui est un paramĂštre caractĂ©risant la thermorĂ©sistance des microorganismes dĂ©pend de plusieurs paramĂštres de lâespĂšce du microâorganisme considĂ©rĂ©, de son Ă©tat physiologique, de la tempĂ©rature et du milieu dans lequel il est prĂ©sent. Ainsi, DT caractĂ©rise la thermorĂ©sistance dâun micro-organisme dans des conditions physico-chimiques bien dĂ©ïŹnies. Les microâorganismes sont plus facilement dĂ©truits lorsquâils se trouvent en phase exponentielle de croissance. Il existe deux types de ïŹores â les micro-organismes dĂ©truits par un traitement Ă 63°C pendant 30 min ou par un traitement Ă©quivalent = ïŹore thermosensible ; â les micro-organismes rĂ©sistants Ă un traitement Ă 63°C pendant 30 min ou par un traitement Ă©quivalent = ïŹore thermorĂ©sistante. La thermorĂ©sistance des microâorganismes varie en fonction des caractĂ©ristiques physico-chimiques de lâaliment telles que le pH, lâactivitĂ© de lâeau lâAw quantiïŹe dans un aliment la disponibilitĂ© de lâeau mobilisable pour les rĂ©actions biochimiques pour en savoir plus cliquez ici et la teneur en lipides plus le pH de lâaliment est Ă©loignĂ© de la neutralitĂ©, plus les micro-organismes sont sensibles Ă la chaleur ; câest pourquoi les aliments sont classĂ©s selon leur pH en trois classes. plus lâAw de lâaliment est faible, plus les micro-organismes sont thcrmorĂ©sistants et donc plus le traitement par la chaleur est inefficace ; plus lâaliment est gras, plus les micro-organismes seront rĂ©sistants Ă la chaleur car les lipides sont de mĂ©diocres conducteurs de la chaleur. Influence de la tempĂ©rature Droite de destruction ou rĂ©sistance thermique Ătude de lâinfluence du temps t de chauffage sur la tempĂ©rature T du traitement pour une mĂȘme efficacitĂ© de destruction thermique n ou E=constante La ïŹgure ci dessus montre la relation existant entre le temps de chauffage et la tempĂ©rature lĂ©tale dâexposition Ă la chaleur permettant dâobtenir un taux de rĂ©duction n donnĂ©. Ces couples TempĂ©rature de chauffage pendant une durĂ©e donnĂ©e se nomment barĂšme de traitement thermique. Ces barĂšmes sont notĂ©s T ; t. Ainsi, plus la tempĂ©rature de chauffage T est Ă©levĂ©e, plus le temps t de destruction thermique est faible. Le modĂšle de Bigelow permet de montrer quâexpĂ©rimentalement, pour un taux de destruction n donnĂ©, le temps de traitement t et la tempĂ©rature T sont liĂ©s par une relation linĂ©aire. Autrement dit, plusieurs barĂšmes de chauffage peuvent atteindre la mĂȘme efficacitĂ© de destruction thermique n=E= constante. le temps de chauffage suit une loi de rĂ©duction dâordre 1 en fonction de la tempĂ©rature logt = + b Cette droite est appelĂ©e droite de destruction ou rĂ©sistance thermique. LâĂ©quation de cette courbe de barĂšmes Ă©quivalents sâĂ©crit pour deux barĂšmes suivant Ă©quivalents T1 ; t1 = T2 ; t2 t1 = t2 * 10 T2 - T1/z ou encore en Log log t1/t2 = T2-T1/z Facteur dâinactivation thermique z En traçant la courbe logt =fT ou logD = fT, il est possible de dĂ©terminer le facteur dâinactivation thermique z. La pente de cette droite est -1/z DĂ©termination graphique de z Ă partir de la droite logt = fT°C DĂ©termination graphique de z Ă partir de la droite t = fT°CDĂ©finition de z Le facteur z est lâĂ©lĂ©vation de tempĂ©rature qui permet de diviser par 10 le temps de chauffage t ou le temps de rĂ©duction dĂ©cimal D pour une mĂȘme efficacitĂ© de destruction microbienne n ou E= constante Sur une reprĂ©sentation graphique en coordonnĂ©es semi-logarithmiques la dĂ©termination de z se rĂ©alise par interpolation. Ainsi, z est un paramĂštre de thermonĂ©sistance caractĂ©ristique de chaque espĂšce de micro-organisme. En gĂ©nĂ©ral, z est dâenviron 10°C pour les formes sporulĂ©es et de 5âC pour les formes vĂ©gĂ©tatives. Exemples de valeurs de D et z Le tableau donne quelques exemples de valeurs de D et de z pour des formes vĂ©gĂ©tatives de bactĂ©ries dans divers aliments. Le temps dâexposition Ă la chaleur est un paramĂštre aussi important que la tempĂ©rature. Notion de barĂšmeOn dĂ©ïŹnit un barĂšme de traitement comme le couple tempĂ©rature de palier de chauffage/ temps de chauffage T ; t appliquĂ© Ă un produit. Le tableau suivant prĂ©sente quelques exemples de barĂšmes utilisĂ©s en industrie alimentaire. Exercices dâapplication Exercice 1 Ă partir des donnĂ©es fournies, complĂ©ter les deux tableaux Soit un Ă©chantillon contaminĂ© par 105 micro-organismes. DĂ©terminer le temps de chauffage et la population de survivants aprĂšs divers traitements Ă 72°C. DonnĂ©e D72°C = 20 s. 2. DĂ©terminer la durĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale DT pour chaque tempĂ©rature T, sachant que D60°C= 600 secondes et que Z=5°C. 235- TempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence et micro-organisme de rĂ©fĂ©rence En pasteurisation, la tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence Tref est Tref=70°C notamment lorsque le produit est contaminĂ© par des bactĂ©ries. Tref=60°C ou 65°C pour les produit acide colonisĂ© parles levures ou moisissures Le facteur z dĂ©pend aussi des microorganismes qui colonisent le produit z=10°C en gĂ©nĂ©ral bactĂ©ries z= 5 Ă 7°C en gĂ©nĂ©ral pour les produits acides colonisĂ©s par des levures- moisissures Germe de rĂ©fĂ©rence Câest le microorganisme pathogĂšne le plus thermorĂ©sistant qui colonise le produit Ă pasteuriser ; son choix dĂ©pend donc du produit. Exemple Pour la pasteurisation des produits carnĂ©s et plats cuisinĂ©, on choisit souvent streptocoque ou entĂ©rocoque faecalis pour les produits laitiers mycobactĂ©rium tuberculosis bacille tuberculeux ; on peut aussi choisir E. coli. Valeur Pasteurisatrice VP 241- DĂ©finition On appelle valeur pasteurisatrice notĂ©e VP ou FTref z la durĂ©e de chauffage en minute Ă la tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence Tref correspondant au mĂȘme taux de rĂ©duction dĂ©cimale n que le barĂšme rĂ©ellement appliquĂ© au produit . 242- Calcul de la VP Ă priori par rapport Ă un cahier des charges VP = F = n * DTref lĂ©gende VP = F= valeur pasteurisatrice en minute n= nombre de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre= log N0/N DTref= DurĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale en min. Ă la tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence. Tref= tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence La VP Ă atteindre dĂ©pendra donc du taux de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre n et de la thermorĂ©sistance du germe de rĂ©fĂ©rence colonisant le produit DT En gĂ©nĂ©ral le taux de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre ne dĂ©passe rarement n=5, car les produit Ă pasteuriser sont de bonnes qualitĂ© sanitaire initiale N0. Dâautre part la charge finale N Ă fixer dĂ©pendra de la durĂ©e de vie DLC Ă Pour la pasteurisation dâun produit, on choisit un micro-organisme de rĂ©fĂ©rence,câest Ă dire particuliĂšrement rĂ©sistant par exemple EnterococcusïŹzecalis et un taux de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre n = 6. Ă tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence 70 °C, sachant que le temps de rĂ©duction dĂ©cimale dâEnteroccus faecalis est D70 = 2,95 min, alors la valeur pasteurisatrice est VP70°C = F70°C= n*D70=6 x 2,95 = 17,7 min La valeur pasteurisatrice est dĂ©ïŹnie comme le temps de traitement Ă une tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence en gĂ©nĂ©ral 70°C appliquĂ©e au cĆur du produit, avec un micro-organisme de rĂ©fĂ©rence en fonction du produit et un nombre de rĂ©duction dĂ©cimale minimum de 5. La valeur pasteurisatrice est donc une fonction thermobiologique exprimĂ©e en minutes quantiïŹant Ă une tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence lâeffet lĂ©tal de la pasteurisation sur un micro-organisme de rĂ©fĂ©rence. La tempĂ©rature au cĆur du produit est mesurĂ©e Ă lâaide dâune sonde introduite Ă lâintĂ©rieur du produit traitĂ©. Celle-ci est couplĂ©e Ă un enregistreur des couples temps/tempĂ©rature qui fonctionne en continu. Le traitement informatique de ces donnĂ©es permet dâobtenir directement la valeur pasteurisatrice. 243- Calcul de la VP Ă postĂ©riori Ă partir de lâenregistrement de tempĂ©raturesOn peut connaitre la valeur pasteurisatrice VP correspondant Ă un barĂšme de pasteurisation appliquĂ© Ă un produit grĂące Ă la formule de BIGELOW qui est directement issue de la formule des barĂšmes Ă©quivalentes expliquĂ©s plus haut T1 ; t1 = T2 ; t2 t1 = t2 * 10 T2 - T1/z La formule de BIGELOW corespondant au barĂšme T1 ; t1 est F=VP= t1 * 10 T1-Tref/z Exemple Un lait destinĂ© Ă prĂ©parer du yaourt est pasteurisĂ© Ă 95°C pendant 3 minutes. Calculer la valeur pasteurisatrice atteinte par ce traitement thermique. Pour calculer cette VP on donne Tref= 70°C ; z= 10°C. VP= 3*1095-70/10 = 948min. Rque dans le cas du yaourt, la VP est trĂšs Ă©levĂ© car le barĂšme de pasteurisation a en plus des objectifs sanitaires, des objectifs de prĂ©cipitations des protĂ©ines sĂ©riques pour optimiser la gĂ©lification pendant lâĂ©tuvage Exercice 2 Un lait est pasteurisĂ© pendant 2 s Ă 85 °C. 1. Le nombre dâunitĂ©s de pasteurisation ou VP Ă©tant calculĂ© sur la base dâune tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence de 70 °C z = 5 °C, dĂ©terminer la valeur pasteurisatrice atteinte en min. 2. Le temps de rĂ©duction dĂ©cimale dâEnterococcus faecalis est D70 = 2,95 min. DĂ©terminer le taux de rĂ©duction dĂ©cimale atteint au cours de la pasteurisation du lait 2 s Ă 85 °C. 3. Sachant que la pasteurisation est en fait rĂ©alisĂ©e Ă une tempĂ©rature rĂ©elle de 84,5 °C au lieu des 85°C affichĂ©s par une sonde de tempĂ©rature dĂ©fectueuse, calculer le nouveau taux de rĂ©duction dĂ©cimale. En dĂ©duire le facteur dâaugmentation du nombre de microorganismes survivants suite Ă cet Ă©cart de tempĂ©rature. Exercice 3 extrait dâun sujet du BTS QIAB 2006 Le lait subit un traitement thermique Ă son arrivĂ©e. Deux traitements thermiques sont envisageables traitement 1 couple temps-tempĂ©rature 12 min / 72 °C ; traitement 2 couple temps-tempĂ©rature 2 s /90 °C. DonnĂ©es 9M 70 °C / z = 7 °C / Temps de rĂ©duction dĂ©cimale du germe de rĂ©fĂ©rence D70 0,75 min. 1. DĂ©terminer pour les deux traitements la valeur pasteurisatrice en min. 2. DĂ©terminer la ïŹore rĂ©siduelle aprĂšs les deux traitements thermiques. DonnĂ©e la charge microbienne du lait de dĂ©part est de 5 .106 UFC par L. Exercice 4 extrait dâun sujet du BTS QIAB 2002 Les ovo-produits utilisĂ©s dans la prĂ©paration des quiches lorraines sont achetĂ©s sous forme dâĆuf entier liquide pasteurisĂ©. 1. LâĆuf entier liquide est pasteurisĂ© Ă 70 °C pendant 90 s quelle est la valeur pasteurisatrice atteinte Tref = 60 °C avec z = 10 °C ? 2. Dans lâĆuf liquide pasteurisĂ©, le germe de rĂ©fĂ©rence utilisĂ© a une durĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale, Ă 70 °C, de 0,12 min avec z = 10 °C. DĂ©terminer le taux de rĂ©duction dĂ©cimale atteint lors de la pasteurisation. 3. Ă la suite dâun dysfonctionnement du pasteurisateur, plusieurs cuves dâĆufs entiers ont Ă©tĂ© pasteurisĂ©es Ă 69 °C au lieu de 70 °C. Quel est le nouveau taux de rĂ©duction dĂ©cimale ? Commenter. Calcul de la VP pour des tempĂ©ratures variables produits appertisĂ©s Dans le cas des produits acides appertisĂ©s comme les conserves de compote, de tomates et tout autres conserves de produits acides, le produit subit Ă cĆur une succession de tempĂ©ratures lĂ©tales. Au cours du traitement thermique, la tempĂ©rature varie entre le dĂ©but et la ïŹn du traitement Ă cause de lâinertie thermique des produits et des appareils en dĂ©but de traitement, celle-ci augmente au cours du prĂ©chauffage du produit puis diminue pendant le refroidissement. Il est donc rare quâun traitement thermique sâeffectue Ă tempĂ©rature constante. Ainsi, lâaliment passe au cours du prĂ©chauffage et du chauffage par une sĂ©rie de tempĂ©ratures croissantes entraĂźnant au-delĂ de 50°C la destruction dâune partie de la population microbienne. Au cours du refroidissement, tant que la tempĂ©rature nâest pas en dessous de 50 °C, la population microbienne prĂ©sente dans lâaliment continue Ă diminuer. Comme T varie avec le temps, il faut procĂ©der Ă une intĂ©gration. La valeur pasteurisatrice globale du traitement VP est calculĂ©e Ă partir de lâĂ©quation Afin de dĂ©terminer la VP on pourra utiliser la mĂ©thode des VP partielles suivante Il est ainsi possible de calculer les valeurs pasteurisatrices partielles VPP de chaque intervalle de temps le plus petit possible aïŹn de considĂ©rer que la tempĂ©rature y est constante. La valeur pasteurisatrice partielle est le temps de maintien Ă une tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence Tref permettant dâobtenir le mĂȘme taux de destruction dâune population microbienne donnĂ©e quâune unitĂ© de temps Ă la tempĂ©rature T effectivement appliquĂ©e. Ainsi, pour chaque tempĂ©rature au-dessus de 50°C, on dĂ©compose le traitement thermique global Ă tempĂ©rature variable en une succession de traitements thermiques courts et supposĂ©s Ă tempĂ©rature constante pendant ces courts instants. En additionnant chaque valeur pasteurisatrice partielle VPP, on dĂ©termine la valeur pasteurisatrice globale VP. est appelĂ© le faccteur de Bigelow ou taux de lĂ©talitĂ© L. Ainsi, pour At = 1 min, la valeur pasteurisatrice partielle est appelĂ©e taux de lĂ©talitĂ© L. Le taux de lĂ©talitĂ© L correspond Ă la durĂ©e de chauffage Ă la tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence Tref qui conduit au mĂȘme taux de destruction dĂ©cimale quâune minute de traitement Ă la tempĂ©rature T. MĂ©thode de dĂ©termination graphique de la VP La valeur pasteurisatrice correspond Ă lâaire sous la courbe L = ft. Ainsi, la valeur pasteurisatrice reprĂ©sente le temps thĂ©orique de chauffage dâun produit Ă une tempĂ©rature constante de rĂ©fĂ©rence Ă©quivalent Ă la durĂ©e des diffĂ©rentes phases augmentation de tempĂ©rature, plateau, diminution de tempĂ©rature nĂ©cessaire pour obtenir le taux de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre.
3 La masse musculaire. La masse musculaire constitue en moyenne 35% de la masse totale dâun homme contre 28% chez la femme. Par ailleurs, la femme est Ă©galement plus "grasse" que lâhomme.
Huile de lin pressĂ©e Ă froidvs40 caractĂ©ristiques en comparaisonHuile d'avocatHuile de lin pressĂ©e Ă froidPourquoi Huile d'avocat est meilleure que Huile de lin pressĂ©e Ă froid? plus d'acides gras mono-insaturĂ©s pour 100 g? Huile de lin pressĂ©e Ă froid est meilleure que Huile d'avocat? plus d'acides gras polyinsaturĂ©s pour 100 g? plus de calcium pour 100 calcium est un minĂ©ral primordial pour la santĂ© osseuse. La dose journaliĂšre recommandĂ©e pour les adultes est d'environ 1000 mg.?1mgvs0mgRemarquablement plus de phosphore pour 100 phosphore est le second minĂ©ral le plus abondant dans le corps humain, aprĂšs le calcium. Il soutient la reproduction cellulaire et contribue Ă la croissance et Ă la rĂ©paration des tissus.?1mgvs0mgNotablement plus de protĂ©ines pour 100 protĂ©ines sont essentielles dans le cadre d'une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e. La quantitĂ© journaliĂšre de protĂ©ines recommandĂ©e est de 0,8-1 g de protĂ©ines pour 1 kg de poids de corps.? moins d'acides gras saturĂ©s pour 100 g? plus de zinc pour 100 zinc joue un rĂŽle important dans la division cellulaire et le renforcement du systĂšme immunitaire.? en eau notablement plus Ă©levĂ© pour 100 aliments riches en eau t'aident Ă rester hydratĂ©. L'eau permet aussi de transporter les nutriments et l'oxygĂšne dans ton corps.? plus de lipides pour 100 g? glycĂ©mique IG Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile d'avocat Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile de lin pressĂ©e Ă froidL'index glycĂ©mique IG est utilisĂ© pour mesurer l'impact des aliments sur le taux de sucre dans le sang. L'index glycĂ©mique des aliments peut ĂȘtre bas, modĂ©rĂ© ou Ă©levĂ© et se situe entre 0-100. Plus l'IG d'un aliment est bas, moins il aura d'impact sur le taux de sucre dans le protĂ©ines sont essentielles dans le cadre d'une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e. La quantitĂ© journaliĂšre de protĂ©ines recommandĂ©e est de 0,8-1 g de protĂ©ines pour 1 kg de poids de choline est essentielle Ă la production des membranes cellulaires et joue un rĂŽle crucial dans la synthĂ©tisation de l'acĂ©tylcholine et de la neurotransmission phytostĂ©rols proviennent des plantes et possĂšdent une fonction similaire Ă celle du bon cholestĂ©rol, soit la baisse du mauvais plus de gĂ©nistĂ©ine pour 100 g Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile d'avocat Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile de lin pressĂ©e Ă froidLa gĂ©nistĂ©ine est un phytoestrogĂšne prĂ©sent dans les plantes. Elle aide Ă rĂ©guler le taux de cholestĂ©rol et contribue Ă maintenir une structure osseuse plus de delphinidine pour 100 g Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile d'avocat Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile de lin pressĂ©e Ă froidLa delphinidine est un pigment vĂ©gĂ©tal souvent responsable d'une coloration bleue ou bleu-rouge et agit comme un pĂ©onidine est un pigment vĂ©gĂ©tal surtout prĂ©sent dans les canneberges et les myrtilles. Des tests in vitro ont rĂ©vĂ©lĂ© un effet antioxydant qui n'a pas encore Ă©tĂ© observĂ© sur le corps humain, en raison de l'Ă©limination rapide des pĂ©largonidine est un type de pigment vĂ©gĂ©tal et agit comme un antioxydant et un capteur de monoxyde d' malvidine est un antioxydant et aide Ă ralentir le dĂ©veloppement du Ă©nergĂ©tiqueLa quantitĂ© d'Ă©nergie apportĂ©e en kiloJoules kJ pour 100 g. L'apport journalier minimum s'Ă©lĂšve Ă environ 7500 kJ d'aprĂšs l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.2. plus d'amidon pour 100 g Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile d'avocat Inconnu. Aide-nous en suggĂ©rant une valeur. Huile de lin pressĂ©e Ă froidL'amidon est un glucide complexe qui se dĂ©compose en glucose, la source principale d' glucides sont faits de carbone, d'oxygĂšne et d'hydrogĂšne, et se divisent en 4 groupes les oligosaccharides glycose, monosaccharides et disaccharides qui sont des sucres et sont sources d'Ă©nergie rapide, mais aussi les polysaccharides, comme les amidons, qui servent Ă stocker de l' quantitĂ© d'Ă©nergie apportĂ©e en kilocalories kcal pour 100 g. L'apport journalier minimum s'Ă©lĂšve Ă environ 1800 kcal d'aprĂšs l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.LipidesUne forme de graisse insaturĂ©e avec plusieurs doubles liaisons dans sa structure. Les graisses insaturĂ©es sont gĂ©nĂ©ralement des acides gras sains qui augmentent le bon cholestĂ©rol et diminuent le mauvais forme de graisse insaturĂ©e avec une double liaison dans sa structure. Les graisses insaturĂ©es sont gĂ©nĂ©ralement des acides gras sains qui augmentent le bon cholestĂ©rol et diminuent le mauvais graisses saturĂ©es sont les mauvais acides gras qui produisent du mauvais cholestĂ©rol et augmentent le risque d'accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux et de crises cardiaques. Elles sont fortement prĂ©sentes dans la viande et les produits acides gras trans sont la forme malsaine d'acides gras insaturĂ©s ajoutĂ©e Ă la nourriture sous forme d'huile vĂ©gĂ©tale afin qu'elle ait meilleur goĂ»t et se conserve plus longtemps. Ils augmentent le mauvais cholestĂ©rol et le risque de maladies cholestĂ©rol est un lipide essentiel Ă la production d'hormones et existe sous deux formes LDL, ou mauvais cholestĂ©rol, et HDL, ou bon cholestĂ©rol. Le LDL lipoprotĂ©ine de basse densitĂ© contribue Ă la plaque qui peut boucher les artĂšres et augmenter le risque d'AVC et de crise cardiaque. Le HDL lipoprotĂ©ine de haute densitĂ© retire le LDL des artĂšres et le transporte vers le foie afin d'ĂȘtre lipides sont essentiels dans le cadre d'une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e. Ils apportent de l'Ă©nergie et jouent un rĂŽle essentiel dans la production d'hormones et de membranes cellulaires, ainsi que dans l'absorption de nutriments et de vitamines calcium est un minĂ©ral primordial pour la santĂ© osseuse. La dose journaliĂšre recommandĂ©e pour les adultes est d'environ 1000 magnĂ©sium est un minĂ©ral important pour le dĂ©veloppement osseux et participe au bon fonctionnement de diffĂ©rents processus mĂ©taboliques, tels que l'activation d'enzymes qui soutiennent la production d' phosphore est le second minĂ©ral le plus abondant dans le corps humain, aprĂšs le calcium. Il soutient la reproduction cellulaire et contribue Ă la croissance et Ă la rĂ©paration des sodium aide Ă rĂ©guler la quantitĂ© d'eau prĂ©sente dans les cellules, en particulier dans les reins. La consommation de sodium a Ă©galement un effet sur la tension fer est prĂ©sent dans l'hĂ©moglobine, qui reprĂ©sente environ les deux tiers des rĂ©serves en fer du corps potassium est un minĂ©ral qui aide les muscles Ă se contracter, rĂ©gule l'Ă©quilibre des fluides dans le corps et aide Ă maintenir une pression artĂ©rielle et une fonction rĂ©nale zinc joue un rĂŽle important dans la division cellulaire et le renforcement du systĂšme contenu en cendres totales exprime la quantitĂ© de minĂ©raux prĂ©sente dans un aliment potassium, sodium, calcium, magnĂ©sium.VitaminesLa vitamine B12 cobalamine est importante pour maintenir le systĂšme nerveux en bonne santĂ©. Elle travaille Ă©troitement avec le folate vitamine B9 dans la production des globules rouges et le traitement du vitamine A est une vitamine liposoluble qui participe avant tout Ă prĂ©server une bonne vision. C'est aussi un antioxydant qui est important pour la santĂ© dentaire, osseuse et celle des tissus mous et de la peau. L'ER Equivalent RĂ©tinol est l'unitĂ© de mesure prĂ©fĂ©rĂ©e par la communautĂ© vitamine A est une vitamine liposoluble qui existe sous plusieurs formes. Elle est surtout importante pour conserver une bonne vision et pour le dĂ©veloppement des os. L'UI UnitĂ© internationale est l'unitĂ© de mesure utilisĂ©e sur la plupart des vitamine E Alpha d-alpha-tocopherol est un antioxydant liposoluble qui protĂšge les cellules du corps de l'effet nĂ©faste des radicaux libres, renforce le systĂšme immunitaire et prĂ©vient la formation de caillots prĂ©sente dans les aliments, la vitamine D est une vitamine liposoluble gĂ©nĂ©ralement obtenue via l'exposition au soleil. Elle facilite l'absorption du calcium qui est essentiel Ă la santĂ© D2 est produite par les plantes et la D3 par la peau humaine lorsqu'elle est exposĂ©e au soleil. Leur rĂŽle principal est de maintenir des niveaux de calcium et de phosphore normaux dans le sang, promouvant ainsi la santĂ© des os et des vitamine K fait rĂ©fĂ©rence Ă un groupe de vitamines liposolubles K1 et K2 essentielles Ă la synthĂšse des protĂ©ines qui assurent la coagulation du sang et supportent le mĂ©tabolisme rĂ©tinol vitamine A1 joue un rĂŽle crucial dans le maintien d'une bonne vision, surtout la vision de nuit. Il est important pour le dĂ©veloppement de la peau, des os et des sont les meilleures Huiles?HuĂźtre creuse du Pacifique crueBarbue de riviĂšre sauvage crueĂperlan arc-en-ciel cruLoup de l'Atlantique cruMontre tout
bWfsbh. cs0eviu4cg.pages.dev/50cs0eviu4cg.pages.dev/20cs0eviu4cg.pages.dev/86cs0eviu4cg.pages.dev/1cs0eviu4cg.pages.dev/44cs0eviu4cg.pages.dev/81cs0eviu4cg.pages.dev/73cs0eviu4cg.pages.dev/81cs0eviu4cg.pages.dev/66
1kg de gras vs 1kg de muscle